Pourquoi utiliser les huiles essentielles contre les infections urinaires ?
Sensation de brûlure, douleurs, envie permanente d’uriner… Face à ces symptômes, il est crucial d’agir rapidement pour traiter une infection urinaire ! Les huiles essentielles offrent une solution efficace pour éliminer rapidement les bactéries responsables de cette infection. Explorez nos solutions naturelles contre les infections urinaires.
Attention cependant, si les symptômes persistent, consultez un médecin. Évitez d’appliquer des huiles essentielles sur les zones ano-génitales.
4 huiles essentielles contre les infections urinaires
🌿 La sarriette des montagnes, anti-infectieuse
Plante médicinale et aromatique, la sarriette remplaçait le poivre au cours de la seconde guerre mondiale. En aromathérapie, l’huile essentielle de sarriette des montagnes est anti-infectieuse et anti-inflammatoire. Grâce à cette double-action, elle combat efficacement les bactéries à l’origine de l’infection urinaire.
Utilisation : Verser 1 goutte d’huile essentielle de sarriette des montagnes dans 1 cuillère à café d’huile végétale au choix (jojoba, avocat, amande…). Masser le bas ventre 3 fois par jour pendant 10 jours maximum. Se laver les mains après application.
Précautions : Effectuer un test cutané avant application – Ne pas appliquer pure sur la peau – Ne pas inhaler – Ne convient pas aux femmes enceintes ou allaitantes, aux enfants de moins de 6 ans, aux personnes épileptiques ou présentant des troubles neurologiques, aux sujets présentant des troubles hormono-dépendants cancéreux ou non, aux personnes présentant une pathologie hépatique.
🌱 L’eucalyptus citronné, anti-inflammatoire
A l’odeur très proche de la citronnelle, l’eucalyptus citronné est originaire d’Australie. Anti-infectieuse et anti-inflammatoire, grâce aux molécules de citronellal qui la composent, l’huile essentielle d’eucalyptus citronné lutte contre l’inflammation de la vessie et des bactéries à l’origine de l’infection urinaire. A ses côtés, vos désagréments ne seront plus qu’un mauvais souvenir !
Utilisation : Verser 1 goutte d’huile essentielle d’eucalyptus citronné dans 1 cuillère à café d’huile végétale au choix (jojoba, avocat, amande…). Masser le bas ventre 3 fois par jour pendant 10 jours maximum. Se laver les mains après application.
Précautions : Effectuer un test cutané avant application – Ne pas appliquer pure sur la peau – Ne convient pas aux femmes enceintes de moins de 3 mois, aux enfants de moins de 3 mois.
🌸 Le palmarosa, antibactérien et antidouleur
Très connue en aromathérapie pour remplacer n’importe quel déodorant, l’huile essentielle de palmarosa possède des propriétés antibactériennes. Ses molécules de géraniol luttent contre les infections bactériennes diverses, dont les cystites (infection des voies urinaires). Également antidouleur, elle apaise les symptômes pour que vous vous sentiez plus léger !
Utilisation : Verser 1 goutte d’huile essentielle de palmarosa dans 1 cuillère à café d’huile végétale au choix (jojoba, avocat, amande…). Masser le bas ventre 3 fois par jour pendant 10 jours maximum. Se laver les mains après application.
Précautions : Effectuer un test cutané avant application – Ne convient pas aux femmes enceintes ou allaitantes, aux enfants de moins de 6 ans et aux personnes asthmatiques.
🍃 Le tea tree, bactéricide majeur
Également appelée arbre à thé, l’huile essentielle de tea tree est un indispensable de la trousse aroma. Antibactérienne par excellence, l’huile essentielle de tea tree détruit toutes les bactéries, même celles résistantes aux antibiotiques ! Son action immunostimulante vient renforcer les capacités de l’organisme à se défendre pour combattre le plus rapidement possible cette infection.
Utilisation : Verser 1 goutte d’huile essentielle de tea tree dans 1 cuillère à café d’huile végétale au choix (jojoba, avocat, amande…). Masser le bas ventre 3 fois par jour pendant 10 jours maximum. Se laver les mains après application.
Précautions : Effectuer un test cutané avant application – Ne pas appliquer pure sur la peau – Ne convient pas aux femmes enceintes de moins de 3 mois, aux enfants de moins de 3 mois et aux sujets présentant des troubles hormono-dépendants cancéreux ou non, aux personnes épileptiques.